Joe & Ava ♠ Life's not always what it seems.

Life's not always what it seems. ♥

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CRÉDIT - CSS

Papa, maman, Ailyenn, Erin (qui aura bien du mal à me lire, certes),

Comment allez vous ? Ici, comme toujours, tout se passe merveilleusement bien, le soleil brille plus fort que jamais et la chaleur est... Chaude ? Ne m'en voulez pas si ce camp me fait perdre mes neurones, je vous jure que cela aussi énormément de bons côtés ! Bref, passons aux choses sérieuses. Les résultats des tests d'Erin doivent être arrivé n'est ce pas ?... Sa surdité est-elle irréversible ? Si vous avez besoin de moi, n'hésitez pas à m'appeler, je reviendrais dès que vous me le demanderez. Faites lui comprendre que je l'aime et que nous jouerons ensemble dès que je reviendrais. Ailyeen, ne t'inquiètes pas, je passerais une après-midi avec toi aussi, comme tu me l'as demandé, et je ne m'occuperais que de toi, promis ! Papa, maman, je sais que cela doit être épuisant pour vous, mais je sais également que vous êtes des parents parfaits.
Je vous embrasse très fort et vous soutiens de tout mon coeur.

Votre fille qui vous aime, Ava ♥

Je me relis une dernière fois, vérifiant qu'il n'y a pas de fautes. Je m'applique à envoyer au minimum une lettre par semaine à ma famille. Nous avons en effet appris que ma petite soeur, Erin, est sourde, il y a quelques mois, et elle a depuis passé une batterie de tests pour trouver l'origine du mal et savoir, si cela va durer, vous savez... Toujours. Je ne suis pas un martyr, mais entre ça et... Disons, le reste, j'ai parfois du mal à tenir le coup. J'essaye de ne pas pleurer, je lève le menton, me tient bien droite devant papa maman et puis tous mes amis, mais c'est pas facile. Je ne dis pas que je ne suis pas chanceuse, parce que certaines personnes, certains événements, écopent le naufrage de ma vie. Non, en fait, c'est juste que... Tout arrive en même temps. Voilà, c'est pour ça. En plus, j'ai, comment dire ça sans paraître absolument narcissique, une réputation à tenir. Je suis censée être une des filles les plus populaires du camp, et franchement, je ne m'en plains pas du tout. En principe, j'ai juste à faire la fête et à avoir le plus d'amis possible. Mais parfois, cela se révèle si superficiel que ç'en est triste. Et puis, une vie sociale, cela demande de l'énergie, vraiment. Et quand tu as des problèmes, tu te rends compte qu'au final, tous ces gens qui t'adulent ne sont pas là pour toi. Comment pourraient-ils, en fait ? Je souris, ris comme avant, je semble peut-être même la plus superficielle de toutes. J'en suis désolée, mais je ne peux pas toujours avoir le coeur larmoyant. Je n'ai que 19 ans, d'accord ?
Un bruit me sortit de mes réflexions limite suicidaire et je sursautais brutalement, lâchant mon parchemin. Une seule pensée me traversa alors l'esprit. Merde merde merde. Levant la tête, je me recomposais un visage joyeux et fis de mon mieux pour sourire, cherchant que dire. Prise de court, je ne pus pas faire mieux que de m'exclamer "Johnny ! Comment vas tu ? Beau temps n'est ce pas ? Parfait pour une bonne séance de surf comme on les aime ahah !" Je gloussais plus ou moins, atrocement niaise et fausse à en mourir. Mais Johnny, en tant que "populaire", devait me comprendre et selon le schéma habituel, rire avec moi et enchainer sur un sujet aussi banal que celui que j'avais abordé.

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Alors que je suis assis sur le bord d'un muret, je finis d'écrire ma lettre. La lettre que, je le sais déjà, ne lira même pas mon père. Quand il a appris que j'étais à magic camp et qu'en plus maman m'avait couvert, il parait qu'il a pêté un cable pas possible. Je m'en veux de laisser ma mère seule avec lui quand il est comme ça, surtout que ce n'est pas mon frère qui l'aidera beaucoup, au contraire. Je soupir donc en mettant mon nom au bas de la feuille, puis décide de me relire une dernière fois afin d'être sur que tout y est. Parce qu'en fait, c'est la seule lettre que j'enverai à toute la famille, j'écrirai une carte de temps en temps à ma mère pour lui conter mes journées dans ce camp. Je lis à voix basse après m'être assuré qu'il n'y avait personne aux alentours.

Papa, Maman, Tommy

Je vous écris cette lettre afin de vous informer que tout se passe très bien, je ne suis ici que depuis une semaine mais tout est parfait pour passer un séjour inoubliable. Il fait chaud, il y a de nombreuses plages et beaucoup d'activités possible. Je vous embrasse, Johnny.

Très formel, c'est comme ça avec mon père, je m'y suis habitué, mais j'y joint un autre papier, celui ci seulement adressé à ma mère.

Bonjour maman,
J'espère que tout vas bien pour toi et que papa ne t'as pas trop embêté avec toute cette histoire.. De toute façon il s'en va bientôt non ? Enfin bref, je sais qu'il ne va surement pas lire la lettre d'avant donc j'aimerai que tu lui dises que je continue à m'entrainer, tout les jours. J'aimerai aussi que tu saches que je me suis découvert une passion parmis les activités moldus. La musique. Je suis même plutôt doué à la guitare et même à quelques autres instruments, cet endroit est vraiment super, j'y suis tellement bien ... Je n'ai pas encore fait grand chose, alors je m'arrete là, je décrirai surement plus mes activités la prochaine fois, j'essairais de t'écrire souvent, je te le promets.
Je t'embrasse fort maman, tiens bon. Joe.

Oui, mais non, ne croyez pas que je suis un de ses fils à maman qui ne jure que par cette femme. C'est surtout la seule personne pour qui je compte réellement dans cette famille, tel que je suis, et mon frère est tellement mauvais avec ma mère que je fais de mon mieux pour la faire se sentir bien. Surtout que mon père est souvent absent.. Trêve de bavardage, je me lève et me dirige à la volière afin d'y envoyer mes lettres. Je mets le tout dans une petite enveloppe et alors que j'allais la donner à un des hiboux du camp, j'entends une voix féminine derrière moi. Je me retourne brusquement, surpris et, le fut encore plus quand je reconnus la personne. Ava.. Je ne sais plus comment. Une fille du camp, une habituée à ce que j'en sais. On parle beaucoup d'elle ici, je crois que c'est une des "populaires" parce que en fait, au final, le système de ce camp est le même que celui de Poudlard; il y avait les populaires, les normaux, et les ringards.
J'avais tout fait, tout, pour faire partit des normaux mais apparemment, c'était héréditaire chez moi, je me devais d'être un populaire. Certains de mes potes m'ont dis que c'était parce que j'étais beau, d'autres parce que j'aimais la fête, que j'étais nouveau et même pour certains, c'était parce que justement je ne voulais pas l'être ce qui faisait de moi une sorte de rebel. Autant dire que j'avais éclaté de rire, peu convaincu. Je reporte mon attention sur la jeune femme. Elle était très belle, autant l'avouer, rien d'étonnant en fait, parce que les filles que personne ne trouvait jolies étaient très rarement populaire. Je retiens un soupir après l'avoir écouté parler, c'était tellement inutile comme conversation. C'est méchant, clairement, mais je pense que cette fille n'est qu'une fille superficielle et rien d'autre. Je me force à sourire, comme si de rien n'était et comme je remarque que son parchemin est par terre, je me baisse pour le lui ramaçer. Je ne sais pas vraiment quoi répondre, je ne suis pas du genre à faire semblant.. Enfin si en fait, tout le temps mais j'ai totalement arrêté depuis que je suis à magic camp. J'avais enfin décidé d'être moi même, je n'allais pas m'arreter maintnant. Je dis d'une voix neutre;
Je ne suis pas très doué en surf, mais oui, c'est vrai qu'il fait beau..
Un sourire s'étend sur mes lèvres, ouah ma phrase est d'une banalité. Je retourne près de "mon" hibou afin de lui donner ma lettre, une fois que c'est fait et que le volatile c'est envolé, je reprends, un peu plus joyeux.
Tu es toute seule ? C'est plutôt rare, je crois t'avoir toujours vu avec une de tes amies...
Mmh, je crois que je suis intrigué, je ne sais pas pourquoi je me pose des questions sur cette fille.. Peut être souhaite-je mieux la connaître.. Ou alors simplement passer le temps. Je ne saurais pas le dire, et c'est plutôt curieux.

[j'espere que ça te va :B]

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Johnny, ne ris pas, non, mais comme je m'y attendais, me répond d'une voix calme.
Je ne suis pas très doué en surf, mais oui, c'est vrai qu'il fait beau..
Il sourit finalement, et je ne peux m'empêcher de reprendre la conversation. Le stress me fait toujours parler plus que d'habitude, je pourrais déballer ma vie en un quart de seconde juste parce que je n'ai rien à dire. Tout en le sachant je ne peux m'empêcher les mots de se déverser, vidant le trop plein d'émotions qui m'assaillaient à peine une minute avant.
"Oui, enfin, je ne suis pas spécialement douée non plus, j'ai commencé en arrivant ici, parce que, bien sûr, tu comprends, il n'y avait pas ça à Beauxbatons. Ç'aurait été étrange, bien sûr, tu imagines des surfeurs dans cet établissement quelque peu austère - il n'empêche que c'est très agréable. Je te l'avoue, ceci dit, je tombe très souvent, et..."
Essoufflée, je m'arrête, reprends ma respiration, me tais simplement. J'ai encore laissé mon stress s'exprimer. Je soupire. Comment se fatiguer soi-même en trois leçons. Cependant, Johnny n'y a pas prêté attention et a confié une lettre à un hibou, le sien certainement, qui s'envole à tire d'aile dès que le papier est en sa possession. Il revient et me regarde à nouveau avant de prendre la parole.
Tu es toute seule ? C'est plutôt rare, je crois t'avoir toujours vu avec une de tes amies...
Etonnement, ces simples mots me font monter les larmes aux yeux, sans trop que je saches pourquoi. Le "Tu es toute seule", peut-être. Je me targue d'être une fille plutôt forte qui ne montrerais pas un signe de faiblesse mais.... A certains instants, j'ai la voix pleine de sanglots, sans pouvoir le réfréner, mon canal lacrymal n'en faisant qu'à sa tête. C'est vraiment quelque chose que je supporte pas, être là, impuissante, sans pouvoir parler sous peine de dévoiler que tout ne va pas si bien. Je me tourne, faisant mine de... Quoi d'ailleurs ? Regarder le ciel ? Bien sûr. Personne n'y croirait mais je tente le coup. J'inspire un grand coup, secoues la tête, espérant que mon timbre est normal, tout comme mon attitude. Espérant qu'il ne se doutera de rien et s'en ira rapidement, maintenant. Je marmonne.
"Toute seule... En quelque sorte."
Encore deux secondes et je me retourne, un léger sourire cloué sur mon visage.
"Les filles sont à la plage je crois, mais, je... Voulais être un peu tranquille. Tu sais, rapport au fait que je n'ai pas besoin d'une escorte pour m'aider à envoyer une lettre."
Je ris intérieurement : je ne sais pas pourquoi, mais lorsqu'on est "populaire", les gens font tout pour vous, comme si vous étiez handicapée. Handicapée... Je me gifle, intérieurement toujours, de laisser ainsi mes pensées dériver, de ne penser qu'à ma petite Erin, tout le temps. D'être choquée, traumatisée par des mots banals. Ce n'était pas comme ça avant. Mes amis pouvaient me traiter d'handicapée lorsque je trébuchais, je pouvais demander à ma mère si elle était sourde lorsqu'elle ne m'entendait pas lui répondre. Et maintenant, parler de ça me glace le sang. C'est fou comme tout change du jour au lendemain. Mon visage doit s'assombrir à vu d'oeil. Je relève le regard, le plante dans le sien avant d'essayer de reprendre de façon plus normale, plus joyeuse si possible.
"Nous sommes très proches. En fait, nous ne restons pas les unes avec les autres juste pour l'apparence. Ou pour "faire genre"."
Je mime les guillemets avec mes doigts en souriant.
"Pas de langues vipères tu vois ? Je ne sais pas comment l'expliquer à vrai dire. Il faut peut-être le vivre ? Nous sommes énormément soudés, unis. Elles me soutiennent, voilà, c'est ça."
Me rendant compte que je me suis encore égarée, sans même savoir pourquoi je lui parle de tout ça, je me mets à rire franchement. Je me frotte le visage, reprends mes esprits.
"Désolée, je dois te déranger, je n'ai absolument aucune idée de la raison pour laquelle je te raconte ça. Excuse moi."
Je me secoues, reprends.
"Maintenant, j'ai, incroyablement, une lettre à envoyer."
Je commence à chercher mon hibou avant de me rendre compte que je ne tiens pas de parchemin entre mes doigts. Je marque un temps d'arrêt, réfléchis, me retourne finalement.
"C'est toi qui... "
Et me retrouve nez à nez avec Joe parcourant mes écrits.

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Elle parle, oh ça oui, et déversse tout un flot de paroles. Cependant, je la laisse faire, écouter les gens ne m'a jamais dérangé, un seul point m'intrigue, je trouve qu'elle parle très rapidement, de façon un peu saccadé comme si elle avait peur, ou qu'elle était stressée.
Je chasse rapidement cette impression de ma tête et parle à voix basse, comme laissant entendre mes pensées à voix hautes.
"Beaubatons.. Je ne savais pas. Le bleu doit bien t'aller .."
Je souris sachant très bien qu'étant dos à elle, elle ne pourra s'en apercevoir. Quand je me retourne je suis surpris de voir qu'elle est tourné vers l'extérieur et ne me regarde plus. Elle me réponds enfin avec une voix qui me semble un peu trouble. Je ne réagis pas, et l'écoute.
Sa réponse est banal, ses amies sont à la plage, elle n'a pas besoin d'escorte pour venir ici .. J
e ne pu retenir un léger rire. Oui, je pouvais comprendre parfaitement, je ne savais pas comment cette fille faisait parce qu'elle était presque toujours suivis de quinze personnes au moins. Puis je reprends subitement mon sérieux quand je me rends compte qu'elle ne parle plus, et qu'elle est figée. Son beau regard sombre est plongé dans le mien et je me rends compte qu'elle souffre. Là, maintenant, je perçois quelque chose derrière se masque de populaire, mais je n'approfondis pas. Je me connais, trop prêt à s'attacher trop vite, j'en ai déjà fait les frais, et j'ai tellement souffert que j'ai décidé d'arrêter. Puis, elle reprends comme si de rien n'était. Elle me parle de ses amies, encore une fois elle récita se qui semblait être un poème réutilisé des centaines de fois. "On ne fait pas semblant, on est unies etc, ect.." Je ne dis rien mais je dû faire un effort concidérable pour ne pas soupirer. Ce à quoi je ne m'attendais pas, c'était ses excuses. Celles pour m'avoir raconté ça.. Alors, peut être n'était-ce pas un discour qu'elle récitait à tout le monde, ou alors cette phrase faisait aussi partit du discour.. Je n'avais aucuns moyens de le savoir, et c'était bien ça qui me troublait. Je n'arrivais plus à faire confiance à personne, chaque phrase, chaque mot résonnait faux quand je les entendais, et ça me faisait mal au plus profond de moi. J'avais mal de ne plus pouvoir faire confiance à, même une seule personne. Alors que je pensais, et ne prêtais plus attention à ce que faisait Ava, mon regard dévia sur la lettre. Elle s'était déroulée en tombant. Distrètement je parcouru d'un oeil rapide les phrases, comme on lit un très long paragraphe de description dans un bouquin et qu'on a envie que d'une seule chose passer à l'action, sans me rendre compte que je lisais quelque chose de privé. Je m'arrete soudain en entendant sa voix. Je releve mon regard, honteux, ayant enfin compris ce que j'avais fait. Je commence par bafouiller. Mauvais début.
"Ava, j-je suis désolé.. Je.. J'aurais pas du regarder. " Je m'approche d'elle pour lui rendre sa lettre en espérant qu'elle ne m'en veut pas même si, ce serait totalement légitime. Je secoue la tête, après tout, même si je n'aurais pas dû, on est pas amis donc je n'ai pas à avoir peur d'exprimer mes pensées. Putain de pensées oui!
Et dire que je la prenais pour une de ses filles superficielles.. Je l'ai été moi même en la jugeant sans la connaître, pourtant qui mieux quiquonque pourrait savoir qu'il se cache souvent des personnes humaines derrières les murs ? Moi. Si j'avais été seul, je serais aller me cogner la tête contre un mur. Mais elle est là, et je décide de la soutenir. Tant pis pour la résolution de laisser les autres se débrouiller et ne plus risquer de souffrir.
"Je suis désolé, pour ce qu'il t'arrive.." Je n'ai lu que brièvement mais j'ai vu les mots sourdes et Erin, que je supposais être quelqu'un de la famille, une soeur probablement.
"Est-ce que tes copines, celles qui te soutiennent, sont au courant ?" Je n'avais pas dis ça dans le ton d'un reproche, au contraire, j'y avais mis le plus de douceur possible, être seul dans des moments pareils ne devrait pas être permis. Ah, et ce n'est pas de la pitiée que j'éprouve pour elle, mais de la simpathie et de l'admiration, parce que je me rends compte à quel point cela à dû être dur de faire comme si tout allait bien.. Je pose ma main sur son épaule, doucement.
"Si non, si personne à part moi est au courant, et que tu as besoin d'en parler; viens me voir, surtout ne reste pas seule à broyer du noir et à réfléchir, ça fait mal. Je sais ce que je dis. Je serais là si tu as besoin d'en parler, de ça ou d'autre chose d'ailleur.."
Et puis, je compris. Je compris que malgré quelques différences on était pareil. Tout les deux on avait ou faisait semblant d'être populaire. Enfin, on était populaire mais on était pas ces jeunes super beaux, fortunés et surtout heureux qu'on laissait voir. Seulement, moi j'avais décidé de venir à magic camp pour être moi meme, enfin. Alors qu'Ava avait décidé d'aller à magic camp pour oublié tout ses malheurs et imaginer que tout aller bien. C'était une forme de thérapie comme une autre. Bien sur, je pouvais tout aussi bien me tromper. Ce ne serait pas la première fois non ?
"J- Je vais peut être te laisser ?! Je crois t'avoir assez dérangé. Je suis désolé, vraiment. Si tu as besoin de parler tu sais que je suis là."
Je me retourne et commence à partir. Je devrais m'arrêter, au moins pour lui laisser le temps de me dire au revoir, mais je suis tellement faché de se que j'ai fais que je n'ose pas.

Pas terrible.. Désolée :X
Et surtout, désolée, désolée du retard *pas tapée ouiiiiin* =D